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LA DÉFORESTATION EN AMAZONIE BRÉSILIENNE ET SON IMPACT SUR L’ENVIRONNEMENT
VALENTINA LÓPEZ ET SANTIAGO URREGO
Résumé
Santiago Urrego: L’article parle des différentes causes de la
déforestation en Amazonie depuis des points de vue
politiques, économiques et sociaux. Aussi, l’article explique
l’impact sur les ressources naturelles et les transformations
qui affectent l’environnement de la région. Pour conclure,
il donne des conclusions et réflexions pour les
implémenter dans le futur.
La première partie de ce résumé contextualise les raisons
pour lesquelles cet article a été écrit. Après, on trouve une
petite explication de chaque cause, puis on dit les conséquences et les conclusions.
Contexte : Le ministère brésilien de l’environnement avec un programme de recherche essayait d’analyser l’état de l’environnement à ce moment-là (La décade de1990), pour chercher une manière de gestion de ressources renouvelables à cause des chiffres inquiétants de déchiffrement, lesquels équivalent à la surface du territoire Français. Provoqué par la colonisation et l’expansion de la frontière agricole, il y a d’autres causes plus profondes qui maintiennent les antérieurs faits.
L’agriculture et l’élevage : Ce sont les
principales causes de la consomption de la
forêt. Ils bénéficient l’économie parce qu'ils
agissent comme valeur refuge dans un
système inflationniste.
Migration et axes de pénétration : Au Brésil,
en 1970 il y avait un phénomène de
migration qu'entravait la situation de
pauvreté rural et urbain, pour tant
l’exploitation minière et forestière est
devenue une forme accroit l’économie et
combattre ce problème.
Facteurs politiques et économiques : L’augmentation de
taxes gouvernementales fait que la plupart de
l’occupation d’espace et les ressources qui s’extrayaient
se font illégalement, par exemple, seulement le 20% de
l’abattage avaient été autorisé.
Facteurs Climatiques : Le phénomène climatique “el
niño” aggrave les dévastions provoquée par des incendies.
L’impact de ces causes en l'Amazonie influe dans tout le
monde. Ses fonctions écologiques interviennent en
processus différents comme le cycle de carbone et de
l’eau. Mais, il existe des terribles conséquences qui
affectent l’équilibre du système écologique comme : la perte de la couverture végétales, les latérisations de sols, la disparation du bocage, et la destruction de la biomasse.
Pour conclure, c’est nécessaire de remarquer l'importance de changer les politiques qui régulent la zone, de manière qu’elles permettent d’obtenir des conditions favorables pour les personnes qui habitent là-bas. Aussi le gouvernement local doit chercher des méthodes pour protéger l’environnement et développer l’économie d'une mode soutenable. Finalement, il faut qu’il se construise un plan qui bénéficie la région et qui prenne les zones qui sont déjà déboisées, car si la situation ne se traite pas également avec les forets détruits, les résultats prouvent être catastrophiques.
L’article a été publié dans le magazine : Bois et forêts des tropiques en l’édition Nº260 dans 1990. Le leader de ¡ recherche était Richard Pasquis.
Image prise du site: https://cutt.ly/YjgRpNJ
Image prise du site: https://cutt.ly/LjgRIn6
VOCABULAIRE
Voici quelques concepts de l'article que nous considérons importants.
Cycle hydrologique
Le cycle de l'eau (ou cycle hydrologique) est un phénomène naturel qui représente le parcours entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou de vapeur d'eau sur Terre : les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eaux souterraines et les glaciers.
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Microclimatiques : Ensemble des conditions climatiques d'un espace homogène très restreint et isolé de son environnement général.
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Érosion : L'érosion est l'usure ou la dénudation des sols et des roches qui produisent différents processus à la surface de la Terre.
Exemple: La forêt est en régression à cause du Déboisement acharné des paysans qui a grandissent leurs champs.
● Broussailleuses : Se dit des cheveux, des sourcils, d'une barbe en broussaille, mêlés et épais.
Ce n'était pas très clair pour nous, alors nous avons cherché un peu et nous avons trouvé un sens plus clair : Nous avons trouvé quelque chose qui s'appelle le cycle de sylviculture des feuilles, cela parle des forêts ayant certains stades et il y en a un dans lequel on dit que la forêt est plus "broussailleuse" et c'est comme une étape dans laquelle l'essentiel de la végétation c'est buisson
● Latérisation : Transformation d'un sol en latérite. La ferralisation, ou latérisation, est un processus de pédogenèse qui se caractérise par une très forte dégradation des minéraux et une forte concentration du fer et de l'aluminium.
À terme, ce processus forme une roche rouge riche en fer : la latérite
● Déforestation : Est synonyme de déboisement.
● Cultures vivrières : Culture de plantes alimentaires (vivres) destinées à la consommation dans le pays même.
● Savane : est une formation végétale propre aux régions chaudes à longue saison sèche. Elle est plus ou moins parsemée d'arbres ou d'arbustes.
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Jachère : La jachère est, historiquement, l'ensemble des pratiques culturales de printemps et d'été des terres arables préparant l'ensemencement d'une céréale d'automne. Le terme désigne aussi, par métonymie, la période où l'on effectue ces façons, et la terre qui les reçoit. (pris de Wikipedia)
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L’environnement : éléments physiques qui nous entourent.
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Elevage : exploitation agricole du bétail (bétail : ganado).
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Abattage : action d’abattre, de faire tomber un arbre, de tuer un animal
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Pâturages : espace à base de prairies naturelles dont les herbes et les plantes sont consommées sur place par les animaux herbivores ou omnivores.
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Mangrove : Végétale des régions littorales tropicales composée de forets impénétrables de palétuviers.
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Défrichements : toute opération volontaire ayant pour effet de détruire l'état boisé d’un terrain et de mettre fin à sa destination forestière.
Réflexion
Des questions
Valentina: Pour parler de déforestation, il faut
commencer par accepter la disparition
imminente du monde tel que nous le
concevons si le rythme effréné de la
destruction est suivi. De la biologie, nous
apprenons que les arbres, dans ce cas, sont la
principale source de l'air que nous respirons.
Ce motif devrait mériter une attention plus
particulière pour la raison la plus simple qui
puisse exister : sans air, il n'y a pas de vie chez
l'homme ; sans air, il n'y a pas de vie dans
l'environnement.
Du minimum de l'humanité, il y a surtout la
réconciliation nécessaire avec le monde que
nous habitons tous. Et tout commence par
une bonne éducation. Ce qui s'est passé est
derrière nous, cependant, viser un
changement pertinent est le besoin des nouvelles générations. Des études indiquent qu'il n'y a pas d'avenir, mais surtout en changeant la mentalité et le comportement de nos jeunes, une lueur d'espoir peut apparaître.
En tout cas, des efforts sont faits depuis longtemps par ceux qui pensent au bien-être de chacun et de notre monde. Des lois et des paramètres ont été créés pour empêcher les activités qui compromettent la normalité de l'environnement, mais, comme dans tous les domaines, il y aura toujours quelqu'un qui voudra se soustraire à la loi qui l'imprègne. Pour cette raison, nous insistons sur la nécessité d'une bonne éducation. Un homme éduqué, quelle que soit son origine, sait et comprend que prendre soin de son environnement commence par soi-même. Par conséquent, tant de lois et de menaces ne seront pas nécessaires tant que chaque individu se comportera à la hauteur de la tâche, pensant toujours d'abord à son propre bien-être.
Celui qui éduque a une connaissance préalable des conséquences d'un acte répréhensible. Pour cette raison, il doit avoir la capacité d'affecter, de manière positive, l'esprit de la personne qui écoute, afin d'être sûr qu'à partir de ce moment le changement commence. Tous les impacts environnementaux causés par la déforestation ainsi que par d'autres activités connexes, ont non seulement des conséquences sur les humains, mais aussi toutes les formes de vie qui existent et que nous ne possédons pas sont en jeu. Qu'attendons-nous pour que notre rôle d'éducateurs soucieux de l'environnement soit une priorité ? Un peu de morale et de conscience ne font jamais de mal.
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Étudiant 1 : Pensez-vous que les intérêts politiques manipulent la manière d'éduquer sur l'environnement ?
Valentina : Nous pensons que c’est une réalité dans la Colombie. L’éducation en général est reformée pour bénéficier certains secteurs, par exemple on trouve que dans les écoles rurales d’Antioquia, on parle de protéger les animaux tout le temps, en toute situation, et c’est une situation difficile pour contrôler le séjour des hippopotames. Malgré le gouvernement cherchait beaucoup de solutions, il faut qu’on les abattre, parce qu’ils représentent un danger très grand pour les personnes et pour les espèces qui habitent les écosystèmes
D’Antioquia. Quelques parties politiques utilisent
la situation pour être populiste en disant que si
les tuent, il serait une violation des droits de
l’environnement, quand la vérité est qu’ils
menacent le bien-être de la population et de
notre biodiversité naturelle.
Étudiant 2 : Comme vous proposez une façon
comment les médias peuvent changer ou
influencer la déforestation ?
Santiago : Ils changent la manière de voir la vérité. Récemment dans Facebook et quelques journaux, on trouve qu’ils parlent positivement de la minière, comme s’ils cherchaient à changer le point de vue de la société pour le faire plus accepter. Ils dissent beaucoup qu'on peut améliorer l’économie mais tout le monde oublie que l’extraction minière, par exemple, détruit l’environnement.
Relation entre l’article et un cours de français
Nous pensons qu’il faut apprendre de notre propre culture pour parler les langues. Si nous nous connaissons on connait bien à nous-mêmes, nous pourrions mieux apprendre.
Apprendre notre culture implique s’éduquer dans la situation actuelle du pays. Et il faut tenir compte que l’environnement est trop détruit. Une des manières de faire une contribution positive est avec une bonne éducation.